En ce début de printemps 2019, on note un déficit de la pluviométrie cumulée depuis septembre 2018, des débits de base des cours d'eau inférieurs au médian voire à leur décennal sec, des nappes s'étant peu rechargées. Ce contexte, conjugué aux prévisions saisonnières de Météo-France pour les mois d'avril à juin 2019, privilégiant un scénario plus chaud et plus sec que la moyenne, laisse entrevoir un étiage probablement précoce et marqué, sauf à ce que des précipitations importantes n'interviennent au cours du printemps.
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